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29 octobre 2009 4 29 /10 /octobre /2009 02:46

Pour ceux qui suivent nos aventures au kilomètre près, pas d’informations depuis un peu plus de deux semaines… Nous ne sommes pas morts, mais tout simplement atteints de flémingite aigüe !


Nous continuons notre voyage au Mexique avec la péninsule du Yucatan et maintenant le Chiapas; les villes de Valladolid, Merida, Campeche, Villahermosa et ce soir arrivée à San Cristobal de las Casas ; les sites préhispaniques de Chichen Itza, d’Edzna, d’Uxmal, de Palenque… Beaucoup de choses et d’impressions à partager, mais nous sommes fa-ti-gués.



En plus, j’ai mis la main sur un livre – j’étais très en manque !
Etienne est en proie aux affres de la création : la rédactrice-chef du blog a refusé son article et il n’arrive pas à remanier la partie recalée...
Nous avons des films à foison sur notre ordinateur ; nous logeons dans des auberges de jeunesse où nous pouvons cuisiner et où les Français sont en nombre : les repas interminables mangent nos soirées (sans jeu de mots) et nous mènent au lit vers minuit.

La boucle est bouclée et nous ne nous sommes plus de la prime jeunesse !


Nous allons passer quelques jours à San Cristobal de las Casas et espérons bien profiter de l'excellente connexion Internet à notre disposition pour alimenter un peu notre blog !

A suivre...

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commentaires

E
<br /> Pour Phiphi: saches que les voyages déforment la jeunesse!<br /> <br /> <br />
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E
<br /> Etienne, écris en espagnol!<br /> <br /> <br />
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P
<br /> Franchement, pas content. mais vraiment pas content du tout !!!! le phiphi !<br /> Que vois-je ? que lis-je ? que vous êtes fatigués ... Que vous n'êtes plus de la prime jeunesse. Raaahhhh je vous renie.<br /> Nous traiter ainsi de vieux, nous faire comprendre qu'au delà des trentenaires, ce sont les viellards, les has been, ceux qu'il faut mettre sur la touche, à éliminer, mon coeur saigne.<br /> Moralement, je viens de faire une chute de 15 étages. écrasé comme une galette que je suis. Je me voyais, certes plus très très jeune mais pas encore tout fripé. Moi qui croyais qu'on a, non pas<br /> l'âge de ses artères, mais bien celui qu'on estime avoir.<br /> Que nenni. Quelle dure réalité, ma (plus très) chère Marion, tu viens de nous envoyer là. Je vous voyais, tous deux, comme les jeunes qui nous poussent gentiment en avant. Non ! Tu nous tires<br /> dessus tout court. Je me meure. On m'a volé (pas mon argent, j'en ai pas) mes croyances. Au secours. Aux voleurs. à l'assasin !<br /> J'ai compris : à la prochaine plongée, je me débrouille pour perdre ma palanquée et aller me fondre dans le grand bleu : là, personne ne me fera comprendre que je suis vieux.<br /> Bon, le pire, c'est que malgré de tels propos, on vous aime encore.<br /> à bientôt<br /> Phiphi<br /> <br /> <br />
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