17 décembre 2009
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Le mois de décembre approche doucement de sa fin – et notre voyage au Mexique s’apprête à faire de même… Une chose est certaine : nous passerons les fêtes de fin d’année entre Oaxaca, où nous nous trouvons actuellement et les plages du Pacifique. Nos premières fêtes passées en T-shirt et maillot de bain !
Nous continuons de profiter de nos visites même si, ces jours-ci, nous ressentons davantage le besoin de passer du temps avec nos hôtes que dans les musées. Nous regrettons d’ailleurs de n’avoir pu trouver personne à Oaxaca pour nous héberger. Certainement qu’en ces temps de fêtes, le facteur humain nous manque plus… Nous penserons bien à vous tous – pendant que nous prendrons le soleil sur une belle plage sauvage ;-)

Merci en tous cas à Marjorie et Alonso qui nous ont si bien accueillis à Puebla !
Même sans le froid, la magie de Noël agit aussi ici, de ce côté du monde. Les marchands proposent des crèches décorées de mousse et d'orchidées ;



Les femmes achètent leur dinde - vivante - au marché et terminent ensuite leurs courses une main occupée par le volatile...

Les rues sont décorées et les fêtes populaires battent leur plein. En dernière date, la fête de la Vierge de la Guadalupe le 12 décembre. Nous attendons ces prochains jours à Oaxaca une fête avec danse des plumes et une exposition de natividades (ou crèches) sculptées dans des radis…
Ici, à notre grand étonnement, Noël rime avec piñatas. Personnellement, nous imaginions que ces décorations étaient le bouquet final de fêtes bien arrosées, quelles qu’elles soient. Et bien non ! Lors de notre séjour à DF, nous avons visité un taller (atelier) de papier mâché : l’objet le plus commandé en cette saison est une piñata.

La forme la plus populaire de ces décorations me rappelle les mines que les Allemands sèment sur les mers dans les films de guerre : une sphère d’où partent des picots. La version mexicaine est bien sûr moins nocive – quoique, avec les friandises cachées dedans certains peuvent souffrir de crise de foie – et beaucoup plus colorée.
Partout dans les rues, des piñatas : les guirlandes électriques dans les rues dessinent des formes de… ; les décorations des sapins de Noël sont en forme de… – vous avez deviné ! Aux feux de circulation, dans la rue, sur le chemin entre son travail et son domicile : partout des piñatas à la vente et achetées. De toutes les tailles, de toutes les couleurs.


Même au Musée d’Art Populaire de DF, l’exposition temporaire du mois de décembre présente des… piñatas. Un véritable catalogue des traditions mexicaines...

- l'apparition de la Vierge de Guadalupe,

- les voladores de Papantla, qui se lancent du haut d'un mât, pour descendre lentement suspendus par un pied...

- une sirène, image très populaire au Mexique...
Nous continuons de profiter de nos visites même si, ces jours-ci, nous ressentons davantage le besoin de passer du temps avec nos hôtes que dans les musées. Nous regrettons d’ailleurs de n’avoir pu trouver personne à Oaxaca pour nous héberger. Certainement qu’en ces temps de fêtes, le facteur humain nous manque plus… Nous penserons bien à vous tous – pendant que nous prendrons le soleil sur une belle plage sauvage ;-)

Merci en tous cas à Marjorie et Alonso qui nous ont si bien accueillis à Puebla !
Même sans le froid, la magie de Noël agit aussi ici, de ce côté du monde. Les marchands proposent des crèches décorées de mousse et d'orchidées ;



Les femmes achètent leur dinde - vivante - au marché et terminent ensuite leurs courses une main occupée par le volatile...

Les rues sont décorées et les fêtes populaires battent leur plein. En dernière date, la fête de la Vierge de la Guadalupe le 12 décembre. Nous attendons ces prochains jours à Oaxaca une fête avec danse des plumes et une exposition de natividades (ou crèches) sculptées dans des radis…
Ici, à notre grand étonnement, Noël rime avec piñatas. Personnellement, nous imaginions que ces décorations étaient le bouquet final de fêtes bien arrosées, quelles qu’elles soient. Et bien non ! Lors de notre séjour à DF, nous avons visité un taller (atelier) de papier mâché : l’objet le plus commandé en cette saison est une piñata.

La forme la plus populaire de ces décorations me rappelle les mines que les Allemands sèment sur les mers dans les films de guerre : une sphère d’où partent des picots. La version mexicaine est bien sûr moins nocive – quoique, avec les friandises cachées dedans certains peuvent souffrir de crise de foie – et beaucoup plus colorée.
Partout dans les rues, des piñatas : les guirlandes électriques dans les rues dessinent des formes de… ; les décorations des sapins de Noël sont en forme de… – vous avez deviné ! Aux feux de circulation, dans la rue, sur le chemin entre son travail et son domicile : partout des piñatas à la vente et achetées. De toutes les tailles, de toutes les couleurs.


Même au Musée d’Art Populaire de DF, l’exposition temporaire du mois de décembre présente des… piñatas. Un véritable catalogue des traditions mexicaines...

- l'apparition de la Vierge de Guadalupe,

- les voladores de Papantla, qui se lancent du haut d'un mât, pour descendre lentement suspendus par un pied...

- une sirène, image très populaire au Mexique...
