13 décembre 2009
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L’occasion d’apprendre qu’au Mexique, les jours fériés sont laïcs : le 12 décembre, consacré à la Virgen de Guadalupe, est un jour presque toujours chômé sans être pour autant un jour férié officiel… Un grand pourcentage d’entreprises fermées, les employés / ouvriers en congé – ou bien accompagnant leur employeur à la messe !
Bien évidemment, c’est le 12 décembre que nous avons choisi pour aller à la découverte des ateliers de poterie dans les environs de Puebla… Nous sommes rentrés les mains vides mais nous avons pu découvrir quelques belles églises – et Etienne a eu l’immense privilège de déguster un whisky-coca à 10 heures du matin avec des pèlerins en route pour DF.
Nous avions déjà pu prendre la mesure du « phénomène Guadalupe » à notre retour du volcan Itza… Sur la petite route de montagne, un cortège sans fin de pèlerins, sac au dos ; des campements de fortune où se restaurer et se reposer ; chacun porte en plus de son barda l’image encadrée de la Vierge de Guadalupe. Pour ouvrir et fermer la marche, des camions proclamant fièrement sur des banderoles le point de départ du pèlerinage. Parfois plusieurs jours de marche pour atteindre le sanctuaire de la Guadalupe, dans les quartiers nord de la capitale.

D’autres indices de ce grand évènement : sur les autoroutes, des files de pèlerins marchant sur la bande d’arrêt d’urgence ; dans les églises, les autels à la Vierge de la Guadalupe sont encore plus fleuris qu’à la normale – nous n’aurions pas imaginé cela possible… Une débauche de fleurs, le parfum du lys est palpable dans l’air.

A Puebla, dans une église consacrée à la Guadalupe, des offrandes de toutes les couleurs envahissent les voûtes et les coupoles… Des ballons, quelle idée ! Toujours cette dimension festive de la religion si inhabituelle pour nous…
Bien évidemment, c’est le 12 décembre que nous avons choisi pour aller à la découverte des ateliers de poterie dans les environs de Puebla… Nous sommes rentrés les mains vides mais nous avons pu découvrir quelques belles églises – et Etienne a eu l’immense privilège de déguster un whisky-coca à 10 heures du matin avec des pèlerins en route pour DF.
Nous avions déjà pu prendre la mesure du « phénomène Guadalupe » à notre retour du volcan Itza… Sur la petite route de montagne, un cortège sans fin de pèlerins, sac au dos ; des campements de fortune où se restaurer et se reposer ; chacun porte en plus de son barda l’image encadrée de la Vierge de Guadalupe. Pour ouvrir et fermer la marche, des camions proclamant fièrement sur des banderoles le point de départ du pèlerinage. Parfois plusieurs jours de marche pour atteindre le sanctuaire de la Guadalupe, dans les quartiers nord de la capitale.

D’autres indices de ce grand évènement : sur les autoroutes, des files de pèlerins marchant sur la bande d’arrêt d’urgence ; dans les églises, les autels à la Vierge de la Guadalupe sont encore plus fleuris qu’à la normale – nous n’aurions pas imaginé cela possible… Une débauche de fleurs, le parfum du lys est palpable dans l’air.

A Puebla, dans une église consacrée à la Guadalupe, des offrandes de toutes les couleurs envahissent les voûtes et les coupoles… Des ballons, quelle idée ! Toujours cette dimension festive de la religion si inhabituelle pour nous…
